2.5.05
dîner vendredi
Vendredi soir le frère australien que j'aime beaucoup a offert un dîner chez lui. Un festin devrais-je dire. On était 8 ou 9, et j'ai cru un instant qu'on était revenus à Madagh.
Comme d'habitude quand on discute entre frères je ne me rappelle pas du détail des discussions. Un hadith me reviendra sans doute à l'occasion. Ce n'est pas juste la chaleur humaine qui m'emplit, c'est autre chose. Si on m'avait dit il y a un an que je me sentirais chez moi, à ma place, au milieu d'un groupe de frères en train de parler de religion...
Je crois bien que c'est dans la Futuwah qu'il y a des passages très beau sur le fait que le beau comportement, le bel agir, c'est aussi d'aimer ses frères, au point de se sentir déchiré quand on les quitte.
Comme d'habitude quand on discute entre frères je ne me rappelle pas du détail des discussions. Un hadith me reviendra sans doute à l'occasion. Ce n'est pas juste la chaleur humaine qui m'emplit, c'est autre chose. Si on m'avait dit il y a un an que je me sentirais chez moi, à ma place, au milieu d'un groupe de frères en train de parler de religion...
Je crois bien que c'est dans la Futuwah qu'il y a des passages très beau sur le fait que le beau comportement, le bel agir, c'est aussi d'aimer ses frères, au point de se sentir déchiré quand on les quitte.